Source [Causeur] Les formations belges voudraient interdire le parti "Islam" mais multiplient les concessions à l'islam
En Belgique, le parti Islam, déjà fort de deux élus, propose à présent des candidats, en vue des élections communales de cette année, dans diverses municipalités fortement islamisées. Le programme est d’une simplicité confondante : remplacer l’ensemble des codes civil et pénal par la charia. Point.
Bien sûr, les réactions outrées des partis traditionnels, guère désireux de se faire piquer les voix des « nouveaux belges » qui ont souvent assuré leur survie, ne se sont pas fait attendre. De nombreux ténors, issus de toutes les formations politiques qui égayent la vie pluvieuse outre-Quiévrain, exigent son interdiction pure et simple. Interdire un parti politique ? On se demande à quel titre un parti politique pourrait exiger l’interdiction de l’un de ses concurrents…
Le Parti socialiste pense avoir trouvé l’astuce en demandant l’interdiction des partis « liberticides ». C’est assez amusant quand l’on sait que c’est justement le PS qui a proposé le plus de lois restreignant la liberté de choix, de parole, etc. Et qu’interdire à un parti de se présenter au suffrage de ses concitoyens, c’est en soi des plus « liberticides ».
Mais le PS n’est pas le seul à devoir constater que sa stratégie n’est pas parvenue à consolider ses ambitions de pouvoir. Quelle stratégie ? Celle, reprise par pratiquement tous les partis, qui consistait à placer sur leurs listes des musulmans afin de récupérer les voix de ces nouveaux votants. Ce qui a valu à la Belgique un secrétaire d’Etat turc rappelé pour son service militaire et la toute première députée voilée.
Retrouvez l'intégralité de l'article sur :
https://www.causeur.fr/islam-belgique-charia-turquie-150587
- Sonia Mabrouk: dernier appel avant la catastrophe
- Campagne à la découpe
- Pourquoi Sarah Knafo est-elle si peu invitée da...
- Tombera… Tombera pas?
- Boualem Sansal: ses propos sur le Sahara que l’...
- Une vague bleue
- SNCF: l’exemplaire ponctualité
- Harcèlement scolaire: ce que Gabriel Attal peut...
- Poitiers, Rennes, Marseille… la France orange m...
- L’Eglise catholique, piñata favorite de la gauche