
Source [Marianne] : En accusant le Syndicat de la magistrature d’abriter des « juges rouges », Bruno Retailleau a remis sur le devant de la scène une affaire vieille de douze ans : celle du « mur des cons ». Retour sur une affaire qui trouve encore une caisse de résonance politique.
Sur le plateau de France 2, jeudi soir, Bruno Retailleau a ressorti un vieux dossier de la justice française. Interrogé sur la condamnation de Marine Le Pen, le ministre de l’Intérieur – et candidat à la présidence des Républicains – a dénoncé la présence de « juges rouges » dans l’institution judiciaire. Et il n’a pas hésité à être plus précis en nommant le Syndicat de la magistrature (SM), classé à gauche, comme un exemple manifeste de cette politisation. « La très grande majorité des magistrats en France observe une neutralité, mais il y a parfois des organisations syndicales… Notamment une, qui s’est fait connaître avec le ” mur des cons “ », a-t-il lancé. Avant de marteler : « C’est objectif. Le Mur des cons… Pouvez-vous me dire ici si le Mur des cons a eu lieu ou non ? (...) C’est acceptable, ce Mur des cons ? »
- Orthographe, grammaire, calculs… Chez les aspir...
- Dissuasion nucléaire : comment Sébastien Lecorn...
- "La balle est dans le camp de la Turquie" : les...
- "On a lavé notre linge sale en public" : après...
- Retour en grâce pour la Syrie : les 27 pays mem...
- Suppression d'emplois à venir : ArcelorMittal e...
- De plus en plus de candidats à l’ENA veulent po...
- Intelligence artificielle : l'Europe condamnée...
- "Ce que Rima Hassan dit n’engage qu’elle" : au...
- Jacques, 64 ans, ex-directeur d’abattoir : "Je...