Source [Le Salon Beige] : Jean-Marie Le Pen avait décrit en 2018 dans le premier volume de ses mémoires, Fils de la Nation, son éducation et sa foi, jusqu’à cette rupture personnelle avec l’Eglise survenue à l’âge de seize ans.
« la religion catholique, la famille et la patrie se trouvaient liées dans le culte des morts. La grande guerre avait fait l’union sacrée dans les cimetières. Les combats fratricides de la laïcité avaient été surmontés dans la fraternité des tranchées.
« Le culte des morts pour la France me paraissait alors, et me semble toujours, un des éléments fondateurs de la patrie, comme l’est aussi le respect des Français à naître : le peuple du passé donne la main à celui de l’avenir. Or notre société se moque des anciens combattants et pratique l’avortement de masse, dans un mépris total de la lignée qui implique le refus de la vie.
« Je me souviens des grands rassemblements des monuments aux morts de Sainte-Anne d’Auray où se trouvaient inscrits les noms de deux cent cinquante mille Bretons morts pour la France, et ce que nous y chantions : Tes fils bretons morts pour la France / Ont espéré sainte Anne en toi / Accorde-leur la récompense / De leur amour et de leur foi ».
- Nouveau recul du nombre de naissances
- Syrie : le nouveau ministre de la défense s’éta...
- Richard de Seze, nouveau directeur de la rédact...
- Victoire pour les mairies de Perpignan et Bézie...
- “France, fille aînée de l’Église, souviens-toi...
- Crise démographique : la bombe de la surpopulat...
- Les messes du pèlerinage Notre-Dame de Chrétien...
- Les jihadistes Hay’at Tahrir al-Sham, ancienne...
- Annulation de la suspension du directeur de l’I...
- Parents invisibles, enfants en danger : non au...