
Source [JDD] : OPINION. En consacrant un texte aux soins palliatifs distinct de celui sur l’aide à mourir, le Premier ministre répond à une revendication des soignants, analyse Erwan Le Morhedec, avocat à la Cour et bénévole en soins palliatifs.
Un an plus tard, François Bayrou applique l’éphémère promesse d’Emmanuel Macron. Souvenez-vous : formulant ses vœux aux autorités religieuses, il avait clairement annoncé que le modèle français de la fin de vie allait faire l’objet de deux textes séparés. L’un traiterait du développement des soins palliatifs, l’autre de la mise en place du suicide assisté et de l’euthanasie, appelés ensemble « aide à mourir ». Que n’avait-il dit ! Et quelles pressions ont dû s’exercer pour que, précipitamment, l’Élysée démente : les deux sujets seraient traités conjointement.
- Présidentielle en Roumanie : la Cour constituti...
- Achats personnels, impayés… France Télévisions...
- Menace russe, investissements dans la défense…...
- GPA : le business caché derrière l’illusion d’u...
- Tensions France-Algérie : le ministre François-...
- «Rima Hassan est la porte-parole du Hamas à Bru...
- Immigration : des militants distribuent des tra...
- «J’avais 14-15 ans quand ça a commencé» : une v...
- Jean-Marie Le Pen est mort à l’âge de 96 ans
- Canada : le Premier ministre Justin Trudeau ann...