Source [Le Salon Beige] Un groupe des droits de l’homme des Nations Unies a critiqué plusieurs États américains parce qu’ils ont déclaré cette semaine que l’avortement était un service non essentiel pendant le confinement lié au COVID-19, en affirmant que « l’avortement légal et sûr » est un élément clé des « prestations de service de santé sexuelle et reproductive ».
Le groupe a également dénoncé une récente lettre du chef de l’agence des États-Unis d’aide à l’étranger appelant à la suppression de l’expression « santé sexuelle et reproductive » d’une résolution de l’Assemblée mondiale de la santé.
La déclaration est venue du Groupe de travail sur la discrimination à l’égard des femmes et des filles, qui fait partie des Procédures Spéciales du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies. Les États-Unis se sont retirés du Conseil en 2018. La déclaration a ensuite été approuvée par les rapporteurs spéciaux des Nations Unies, dont le mandat couvre la santé et la violence à l’égard des femmes. Celles-ci font partie des Procédures Spéciales de l’ONU.
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