Source [Marianne] : A Paris, les 800 black bloc en tête de manifestation ont été neutralisés pendant plusieurs heures alors que le gros du cortège empruntait un itinéraire bis. A la manœuvre, Laurent Nunez, le nouveau préfet de police de Paris. Et sa doctrine du maintien de l’ordre, opposée à celle de son prédécesseur Didier Lallement.
« On a parfaitement géré le black bloc », se félicite un cadre de la préfecture de police de Paris. De fait, ce jeudi 19 janvier à Paris, la tête de cortège composée de manifestants radicaux a été bloquée et isolée par la police pendant plusieurs heures boulevard Beaumarchais, entre la place de la République et la Bastille. Selon les estimations policières, plus de 800 manifestants « ultras », s’étaient positionnés en avant du cortège syndical. Un nombre bien au-delà des prévisions de « 400 black blocs ». « On les a vus se mettre en place, ils étaient très nombreux », admet une source policière, « inquiète » en début d’après-midi. D’autant que vers 14 heures, « près de 12 000 personnes » s’étaient massées boulevard Beaumarchais, devant la tête du cortège syndical – un chiffre qui en dit long sur le nombre réel de manifestants ce jeudi à Paris, probablement bien supérieur au chiffre policier de 80 000.
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Xavier Driencourt : "La convocation de l'ambass...
- "Si les Turcs atteignent leur objectif dans le...
- "Rebelle", "modéré"… Non, islamiste : ne pas se...
- Et Barnier est tombé : récit d’un après-midi cr...
- Affaire Pierre Palmade : Mila, son bébé perdu,...
- UE-Mercosur : lobbies, commission, Pedro Sánche...
- "La tonne de carbone doit devenir une nouvelle...
- Olivier, ex-préparateur physique dans le foot :...
- Présidence de commission, vice-présidence de l'...
- Moldavie : quand les expats installés dans l'Un...