Politique

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  • Les Français pessimistes pour la suite du quinquennat d'Emmanuel Macron

    Les Français pessimistes pour la suite du quinquennat d'Emmanuel Macron

    Article rédigé par Le Figaro, le 08 octobre 2018

    Thème : Politique

     Source [Le Figaro] Selon le sondage Odoxa réalisé pour France inter, la presse régionale et L'Express, le départ de Gérard Collomb est «une mauvaise chose» pour le chef de l'État. 66% des Français y voient un «mauvais signe» pour la suite.

  • Présidentielle brésilienne : le nationaliste Jair Bolsonaro largement en tête du premier tour

    Présidentielle brésilienne : le nationaliste Jair Bolsonaro largement en tête du premier tour

    Article rédigé par Liberté politique, le 08 octobre 2018

    Thème : Politique

    Source [RT France] Jair Bolsonaro, le candidat nationaliste du Parti social libéral (PSL), a manqué de peu d'être élu dès le premier tour de l'élection présidentielle brésilienne, devançant largement son rival Fernando Haddad, héritier de Lula.

  • La droite la plus bête du monde

    La droite la plus bête du monde

    Article rédigé par Les 4 Vérités, le 04 octobre 2018

    Thème : Politique

    Le Landerneau politico-médiatique a récemment bruissé de terribles rumeurs : le fascisme était à nos portes.

  • Vent de fronde des élus locaux contre l’exécutif

    Vent de fronde des élus locaux contre l’exécutif

    Article rédigé par Liberté politique, le 03 octobre 2018

    Thème : Politique

    Source [Le Monde] Au congrès de Régions de France, Edouard Philippe a demandé aux associations de ne pas rompre le dialogue.

  • Les organisations internationales sont-elles une forteresse progressiste imprenable dans la lutte entre libéraux et conservateurs ?

    Les organisations internationales sont-elles une forteresse progressiste imprenable dans la lutte entre libéraux et conservateurs ?

    Article rédigé par Atlantico, le 01 octobre 2018

    Thème : Politique

    Source [Atlantico] Lettre de Londres mise en forme par Edouard Husson. Nous recevons régulièrement des textes rédigés par un certain Benjamin Disraëli, homonyme du grand homme politique britannique du XIXe siècle.

  • Un an et demi à l’Elysée, et déjà une ambiance de fin de règne

    Un an et demi à l’Elysée, et déjà une ambiance de fin de règne

    Article rédigé par Mediapart, le 29 septembre 2018

    Thème : Politique

    Source [Mediapart] Affaires Benalla et Kohler, démissions « surprises » ou annoncées de poids lourds du gouvernement, critiques publiques et dysfonctionnements à tous les étages... Emmanuel Macron est plus affaibli que jamais. L’inquiétude gagne son entourage, où rares sont ceux à nier les évidences : il y a un problème et il concerne le président de la République lui-même.

  • Donald Trump à l’ONU : « Nous rejetons l’idéologie du mondialisme et nous épousons la doctrine du patriotisme »

    Donald Trump à l’ONU : « Nous rejetons l’idéologie du mondialisme et nous épousons la doctrine du patriotisme »

    Article rédigé par RT France, le 28 septembre 2018

    Thème : Politique

    Source [RT France] « Les Etats-Unis ne vous diront pas comment vous devez vivre et travailler ou pratiquer votre religion », a déclaré le président de la superpuissance mondiale à l’Assemblée générale de l’ONU dans un discours qui représentait une vraie rupture avec la doctrine des précédents présidents américains, « Nous vous demandons seulement de respecter notre souveraineté en retour ». 

  • Décision de justice sur les assistants d'eurodéputés FN : Marine Le Pen dénonce une «peine de mort»

    Décision de justice sur les assistants d'eurodéputés FN : Marine Le Pen dénonce une «peine de mort»

    Article rédigé par RT France, le 10 juillet 2018

    Thème : Politique

    Source [RT France] Les juges français ont retenu, dans le cadre de l'affaire des assistants présumés fictifs d'eurodéputés FN, deux millions d'euros d'aides publiques que devait toucher le Rassemblement national. Marine Le Pen déplore un assassinat politique.

  • Le gouvernement  italien éjecté par le Président de la République

    Le gouvernement italien éjecté par le Président de la République

    Article rédigé par Boulevard Voltaire, le 30 mai 2018

    Thème : Politique

    Source [Boulevard Voltaire] Un président de la République non élu par les citoyens vient d’interdire un gouvernement élu par le peuple. 

  • Le président italien torpille la formation d'un gouvernement

    Le président italien torpille la formation d'un gouvernement

    Article rédigé par Le Salon Beige, le 28 mai 2018

    Thème : Politique

    Source [Le Salon Beige] Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

    Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

    Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

    Pressenti pour former un gouvernement, Giuseppe Conte s'est heurté au veto du président Sergio Mattarella (photo), qui a refusé la nomination de l'eurosceptique Paola Savona au ministère de l'Économie. Le professeur Conte a pris acte de ce refus en renonçant à former un gouvernement.

    Devant l'impasse, le Président Mattarella a déclaré qu'il n'envisageait pas d'organiser des élections avant d'avoir obtenu un «vote clair» du Parlement. Aussi a-t-il convoqué pour lundi matin au Quirinal le directeur d'un observatoire sur les comptes publics, l'économiste Carlo Cottarelli, ancien Commissaire à la dépense publique. En 1988, il travaillait pour le FMI... Il devrait le charger de constituer un gouvernement «neutre». S'il n'a, à première vue, aucune chance d'obtenir la confiance du Parlement, il pourrait expédier les affaires courantes et organiser de nouvelles élections pour l'automne prochain.

    La Ligue et le M5S ont accusé le chef de l'État de trahir le vote des Italiens. Matteo Salvini, patron de La Ligue, a accusé le chef de l'État d'avoir «injustement barré la route à un homme qui avait pour seul tort d'avoir trop défendu les intérêts des Italiens».

    "Nous ne serons plus jamais les larbins de personne. L'Italie n'est pas une colonie, nous ne sommes pas les esclaves des Allemands ou des Français, du spread (l'écart entre les taux d'emprunt à dix ans allemand et italien, ndlr) ou de la finance". "Les Italiens d'abord. Moi je ne lâche rien".

    Luigi Di Maio, patron du M5S, a parlé d'un choix «incompréhensible» de la part du président Mattarella:

    «L'Italie est souveraine. On ne peut empêcher un gouvernement du changement. Je suis très en colère.» "Nous étions prêts à gouverner et on nous a dit non, parce que le problème est les que les agences de notation dans toute l'Europe étaient inquiètes à cause d'un homme qui allait devenir ministre de l'Economie". "Alors disons-le clairement qu'il est inutile d'aller voter, puisque les gouvernements ce sont les agences de notation, les lobbies financier et bancaire qui les font. Toujours les mêmes".

    D'après les derniers sondagesde nouvelles élections pourraient profiter à la Ligue, qui a remporté 17% des voix en mars, tandis que le M5S consoliderait sa base, mais ne permettraient pas de sortir de l'impasse.

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