Politique
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Et Barnier est tombé : récit d’un après-midi crépusculaire à l’Assemblée
Thème : Politique
Source [Marianne] : Chacun a joué sa partition jusqu’au bout, et le résultat attendu est tombé après 20 heures ce mercredi 4 décembre : Michel Barnier est censuré par l’Assemblée nationale, une première depuis 1962.
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«Sauf revirement total du gouvernement», le Rassemblement national votera la censure
Thème : Politique
Source [Le Figaro] : Dans l’hypothèse où Michel Barnier déclenche dès lundi un 49.3 sur le budget de la Sécurité sociale, Marine Le Pen devrait bel et bien mettre sa menace à exécution.
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Tombera… Tombera pas?
Thème : Politique
Source [Causeur] : Le gouvernement Barnier ne tient plus qu’à un fil… qui s’appelle Marine Le Pen. Toute la classe politique semble plus obsédée par ses petits calculs présidentiels que par l’avenir du pays. Il est cocasse de noter que tous ceux qui poussent Emmanuel Macron à la démission sont en fait en train de tuer l’institution pour laquelle ils se battent, analyse Elisabeth Lévy.
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Démission d’Emmanuel Macron : cette hypothèse est-elle crédible en cas de vote d'une motion de censure ?
Thème : Politique
Source [CNews] : Alors que le scénario d’une motion de censure se précise, l’hypothèse d’une démission d’Emmanuel Macron en cas de blocage institutionnel est poussée par l’opposition. À droite comme à gauche, le chef de l’État est sommé de «prendre ses responsabilités».
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Élisabeth Borne officiellement faite commandeure de la Légion d’honneur par Emmanuel Macron qui a loué son « sens du collectif »
Thème : Politique
Source [Fdesouche] : Ancienne Première ministre, Élisabeth Borne a été ce lundi 25 novembre élevée au rang de commandeure de la Légion d’honneur par Emmanuel Macron. Lors de la cérémonie, très politique, le président de la République a loué le « sens du collectif » de l’ancienne locataire de Matignon. Ce titre lui avait été conféré en juillet 2024.
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Hollande, Borne, Darmanin, Séjourné… Ces députés qui méprisent l’hémicycle
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Source [Boulevard Voltaire]: C’était dans « Quelle époque », ce samedi 16 novembre. Léa Salamé interrogeait François Hollande sur sa faible présence à l’Assemblée nationale - oh, avec bienveillance, on était comme en famille en compagnie de Christophe Dechavanne, Elise Lucet, Michel Denisot… L’ancien président de la République s’est expliqué avec la désinvolture bonhomme qui le caractérise: « J’ai voté quarante fois, donc c’est quand même beaucoup. J’y vais autant qu’il est possible. Et je pense que, pour un ancien président, c’était déjà beaucoup de faire ce que je fais, c’est-à-dire d’accepter - et c’est tout à fait la règle - d’être présent autant que nécessaire. » Monsieur est trop bon !
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«Il faut que l’Etat dépense moins pour pouvoir taxer moins», considère Sarah Knafo
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Source [CNews] : «Il faut que l’Etat dépense moins pour pouvoir taxer moins», a déclaré l'eurodéputée Reconquête! Sarah Knafo, ce mardi dans l'émission Face à l'Info sur CNEWS.
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Présidence de commission, vice-présidence de l'Assemblée… Ce que le NFP peut faire grâce à ces postes clefs
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Source [Marianne] : Quelles sont les conséquences politiques de la petite révolution qui s'est produite dans l’organigramme du Palais-Bourbon, au sein duquel le Nouveau Front populaire, pourtant dans l'opposition, s'est taillé une part de choix ?
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Pour S. Rousseau, égorger et retirer des livres, c’est tout pareil !
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Source [Boulevard Voltaire] : La scène se déroule sur LCI. Le thème de l’émission est la journée d’hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard. Le journaliste se tourne vers Sandrine Rousseau : « Pensez-vous qu’il y a l’offensive d’un courant islamiste radical à l’Éducation nationale ? », demande-t-il aimablement. Aucun piège, zéro difficulté. Il aurait aussi bien pu demander si l’eau mouillait, et si son nez était au milieu de la figure.
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Loi immigration 2025 : le projet de Bruno Retailleau à l’épreuve du budget
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Source [Valeurs actuelles] : Plébiscité par les Français, le durcissement de la politique migratoire révèle les rapports de force entre l’exécutif et sa majorité parlementaire composite. A l'ouverture des débats budgétaires, Gabriel Attal et Bruno Retailleau accordent péniblement leurs violons.