De Françoise Sagan à Pierre Palmade en passant par Jean-Luc Delarue : trente ans d’impunité sur la coke

Source [Marianne] : La cocaïne s'est répandue comme une traînée de poudre dans les années 1990, les années fric, frime et fête… inondant la jet-set. Pierre Palmade a traversé ces trois décennies. Et est devenu le symbole de cette époque, marquée par une impunité, qui concerne désormais presque tous les consommateurs.

Une vie de coke et de rendez-vous manqués. « Il nous a tellement menti murmure un proche. Il s’est surtout beaucoup menti à lui-même. Centfois, Pierrea promis qu’il arrêtait la drogue. Centfois, il est allé à la clinique Montsouris. Centfois, il en est parti au bout de deuxjours… » Selon nos sources, l’été dernier, dans la plus grande discrétion, Pierre Palmade a décidé d’essayer une nouvelle fois d’en finir avec la coke. Il a réservé et payé un séjour d’un mois dans un établissement privé de Tunisie, une clinique luxueuse sur les bords de la Méditerranée. Objectif : tourner la page de trente ans d’addiction. « Il a tenu une semaine révèle un proche à Marianne. Et il est parti… » Ses amis du « jour », son agent, Muriel Robin, Carole Bouquet, Michèle Laroque et une poignée d’autres ont été déçus, une nouvelle fois. Ses amis de la nuit, eux, ont applaudi son retour. La fête a continué. « Pierre a toujours vécu dans deuxmondes parallèles, compartimentant ses deuxvies, confie un proche. Nous, on a toujours tout ignoré de sa vie nocturne. Mais personne n’avait jamais entendu parler de pédophilie. On reste tous éberlués par cette hypothèse. Comme on est éberlués qu’il ait pris le volant, lui qui ne conduit jamaisd’habitude… »

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