Source [Causeur] : Pour ne pas subir le désastre de l’Éducation nationale, Paul Rafin a choisi d’enseigner dans des établissements privés sous contrat. Il y a retrouvé les méthodes qui ont fait leur preuve dans l’instruction publique pour fabriquer des crétins. Il a jeté l’éponge. Témoignage
J’ai été professeur de français au collège et au lycée. Pour ne pas subir l’idéologie gauchiste qui gangrène l’Éducation nationale, j’ai choisi de passer le Cafep, le concours qui permet d’enseigner dans les établissements privés sous contrat. J’ai pu découvrir que le privé est en passe d’égaler le public ! Cela commence dès la formation des professeurs à l’Isfec (Institut supérieur de formation de l’enseignement catholique). La devise des formateurs tient en trois mots : bienveillance, mélange et différenciation.
Bienveillance : il ne faut pas mettre de mauvaises notes, il ne faut pas corriger au stylo rouge, il ne faut pas établir de classements, il ne faut pas faire de l’apprentissage par cœur (trop traumatisant), il ne faut pas punir les élèves qui perturbent la classe (car ils ont sans doute des « problèmes » d’hyperactivité, un trouble magique qui, dans neuf cas sur dix, ne sert qu’à justifier la mauvaise éducation).
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Sonia Mabrouk: dernier appel avant la catastrophe
- Campagne à la découpe
- Pourquoi Sarah Knafo est-elle si peu invitée da...
- Tombera… Tombera pas?
- Boualem Sansal: ses propos sur le Sahara que l’...
- Une vague bleue
- SNCF: l’exemplaire ponctualité
- Harcèlement scolaire: ce que Gabriel Attal peut...
- Poitiers, Rennes, Marseille… la France orange m...
- L’Eglise catholique, piñata favorite de la gauche