Source [Marianne] : Les responsables politiques écologistes ne peuvent plus ignorer la présence de militants violents qui s’immiscent à leurs côtés dans les luttes. Un choc des cultures difficile à gérer pour les représentants de méthodes radicales mais ancrées dans le pacifisme et le concept de désobéissance civile.
Ils ont troqué les K-Way noirs pour des combinaisons agricoles bleues et des bottes de pluie plus adaptées aux champs que les chaussures de ville. Mais la radicalité est toujours la même. Dans les rues des métropoles comme à la campagne, les adeptes du black bloc ont toujours le même objectif : se mesurer aux forces de l’ordre. Les mobilisations contre le projet de construction de retenues d’eau artificielles à Sainte-Soline (Deux-Sèvres) leur ont donné un terrain de jeu particulièrement fertile. Ils ont pu s’en donner à cœur joie lors des deux samedis de manifestations (le 29 octobre 2022 et le 25 mars 2023), à l’appel de la coalition Les Soulèvements de la Terre, de la Confédération paysanne et du collectif citoyen « Bassines non merci », au milieu des milliers d’écologistes rassemblés (4 000 à 7 000 personnes lors du premier raout, près de 30 000 lors du second).
Retrouver l'intégralité de l'article en cliquant ici
- Xavier Driencourt : "La convocation de l'ambass...
- "Si les Turcs atteignent leur objectif dans le...
- "Rebelle", "modéré"… Non, islamiste : ne pas se...
- Et Barnier est tombé : récit d’un après-midi cr...
- Affaire Pierre Palmade : Mila, son bébé perdu,...
- UE-Mercosur : lobbies, commission, Pedro Sánche...
- "La tonne de carbone doit devenir une nouvelle...
- Olivier, ex-préparateur physique dans le foot :...
- Présidence de commission, vice-présidence de l'...
- Moldavie : quand les expats installés dans l'Un...