Source [Contrepoints] Non content de miner la confiance des Français sur le plan sanitaire, l’exécutif continue sur le plan économique.
Il souffle comme un vent de panique au Château, alors que la macronie, qui s’effrite sérieusement au Palais Bourbon1, vient de récompenser, à la Pyrrhus il est vrai2, Christophe Castaner pour ses bons et loyaux services place Beauvau.
Il vient d’être élu à la tête de son groupe parlementaire à l’Assemblée tandis que les Gilets jaunes semblent déterminés à battre à nouveau le pavé des ronds-points de l’Hexagone depuis le samedi 12 septembre, pour une durée plus indéterminée que ne l’est hélas, l’échéance de leur contrat de travail pour ceux que le Grand Confinement n’a pas (encore) privés d’emploi.
Au plus fort de la crise sanitaire, au printemps dernier, une fois prise la décision politique d’assigner la population française à résidence, le chef de l’État n’a ensuite pas eu d’autres choix que de nationaliser une fraction très large des revenus des Français via le mécanisme du chômage partiel, consistant pour l’État à prendre en charge le salaire versé par l’entreprise à concurrence de 84 %.
Retrouvez l'intégralité de l'article en cliquant ici
- On ne sort pas du socialisme sans douleur. L’ex...
- Le Parlement européen : une institution problém...
- L’aveuglement de l’UE face à la montée de la pé...
- Piqûre de rappel : non, la France n’est toujour...
- Vie chère : les émeutes coûtent très cher aux M...
- Il faut arrêter le soutien financier aux éolien...
- L’imposture écologiste débusquée une fois de plus
- Voter la fragilisation d’EDF c’est sceller la p...
- Pour votre bien, l’État interdit les couteaux d...
- L’enfer est pavé de bonnes intentions – Le cont...