
Source [Polémia] : Dans la seconde moitié des années 1970, près d’un tiers de la population cambodgienne a été tué par le régime des Khmers rouges, un mouvement communiste radical d’inspiration maoïste. Le procès des Khmers rouges – Trente ans d’enquête sur le génocide cambodgiens (Éditions Gallimard, 465 pages, 24,90 euros) du journaliste Francis Deron, demeure un ouvrage de référence sur cette « machine à broyer les hommes qu’institua cette idéologie parvenue au pouvoir ».
Formés dans les universités françaises
En 1962, après l’assassinat par la police politique du régime de Norodom Sihanouk d’un chef historique clandestin, « un petit groupe de communistes d’âge moyen, qui ont en commun d’avoir suivi des études supérieures en France – entre passables et médiocres, pour être indulgents – au début des années 1950, voient leur heure venue. Parmi ceux-ci, un professeur de lycée de 36 ans, fils de bonne famille, du nom de Saloth Sâr. […] Tous ou presque ont fait leurs écoles en communisme en marge de la Sorbonne, orbitant autour du Parti communiste français. »
En 1963, Saloth Sâr, qui adoptera plus tard le nom de guerre de « Pol Pot », devient le chef du mouvement communiste clandestin au Cambodge.
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