Source [Breizh-Info] : Au cœur des émeutes le 30 juin dernier à Angers, des membres du Rassemblement des Étudiants de Droite (RED) ont dû se défendre face à des attaques coordonnées. Ils ont été victimes de plusieurs assauts après que l’extrême gauche a diffusé l’adresse de leur local.
Alors qu’ils n’ont fait que se défendre, ces jeunes patriotes angevins ont immédiatement subi les mensonges médiatiques et les attaques judiciaires à leur encontre :
• La presse les a qualifiés de tous les noms, les accusant mensongèrement d’avoir tabassé gratuitement des passants.
• Pour s’être défendus contre leurs agresseurs, plusieurs militants du RED ont été placés en garde à vue.
• Enfin, leur local a été perquisitionné le lundi 3 juillet. 2 jours plus tard, il était fermé administrativement.
A l’heure qu’il est, plusieurs militants dont sont en garde à vue et passeront en comparution immédiate ce vendredi 7 juillet, sachant que selon nos informations, le refus (légal) de passer en comparution immédiate aurait pu entrainer une mise en détention provisoire (pour un maximum de 6 semaines).
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